La vengeance de la mort... [livre de mon ami et moi]

Ca a lair cool, deja limage de couverture est super! jai hate que tu nous montres des extraits

Un extrait, un extrait!

ouaiiiiiiis un extrait!

alors tu nous envoi quand un extrait?

allez envoi un extrait sil, te, plait!

désolé du retard voici donc un extrait !


La nuit tombait. Un jeune garcon se trouvait devant sa télé. il etais assis sur le canapé et rigolais du film qu’il regardais. Ses parents n’etaient pas la. Il se leva, puis traversa le couloir pour aller aux toilettes. Il ressortit de la cabine, son chat se frottais a ses pieds.
- t’a faim filou ?
comme pour lui repondre, le chat miaula. Le garcon le suivit jusqua la cuisine. Le chat partit en courant, il s’arreta, s’assit sur le sol au milieu de la cuisine, et mangea.
- quesque tu manges ? demanda le garcon en s’approchant
lorsque son chat partit, le garcon decouvrit avec horreur la chose qui se trouvait par terre. Un œil. Il ne put s’empecher de reculer. Mais il se reavanca.
- haha tres drole, un œil en plastique.
Mais, pres de l’œil, s’y trouvait des traces de sang. Le garcon crut d’abord que ce n’etais que du ketchup. Les traces conduisaient vers le frigo. Il decida de l’ouvrir. Une main tomba, il voulut crier mais il resta la, terrorrisé. Un cadavre etait plié en 4 dans le congelateur, du sang debordais. C’etait le corps de sa sœur. Il recula vite et se cogna contre quelqu'un.
- quesqui se passe ? demanda l’homme qui se trouvait derriere le garcon.
Le garcon se retourna, c’etait son pere, soulagé il lanca un regard vers le frigo.
- Lydia est morte.
L’homme ricana.
- je te dis que ta fille est morte et tu ris ? mais sa va pas !
l’homme cessa de ricaner, il regarda le garcon dans les yeux ; celui ci restait fixé, il ne bougeait plus. Alors, l’homme reprit sa forme initiale. C’etait l’ombre, la chose, le monstre qui avait deja tué au paravant. Elle aspira le sang du garcon qui murmura une derniere fois :
- qui etes vous ?
puis il s’ecroula sur le sol sans avoir la reponse q’uil attendait.

Le lendemain, je me reveille comme tous les jours, pour partir au college. Ce week end, je n’avais pas arreter de penser aux meurtres depuis que vendredi dernier, florian nous avait dit que maxime et lucie etaient morts les proffesseurs etaient tous sous le choc. Le lundi revenait, une nouvelle semaine au college. Je pars vite de chez moi. jetais un peu en retard cette fois, le portail etait ouvert et joan et léo etaient deja rentrés. Lorsque j’arrive vers eux, la sonnerie retentit et on partit en anglais. J’etais a coté de joan au premier rang et léo se trouvait derriere nous. Une fois tout le monde rentrer. Je constate que luke n’etais pas la.
- ya luke d’absent aujourdhui lanca rayman a la prof
- pourquoi ? demanda léo
- je sais pas il a pas prevenu, mais je le voit nul part alors il est pas la.
La prof vint se tenir sur l’estrade pres du tableau. Elle demanda le silence. Tous l’observaient.
- jai une annonce a vous faire qui ne vous plaira pas. Luke… (elle ferma les yeux avant de les reouvrir) est mort hier soir.
Personne ne repondit, tous la regarderent. Elle ne bougea pas non plus. Apres un long silence, ludo cria :
- c’est la malediction ! elle a encore frappé ! sa fait 4 morts !
julien baisser les yeux comme honteux. Il martyrisait son stylo comme si il s’en voulait de quelque chose. A coté de lui, devait se trouver Nikos. Mort il y a quelque jours de cette soidisant malediction. Mais pourquoi julien avait lair si honteux. Il etait plus en colere que triste. Il avait presque cassé son stylo. Pourquoi s’en voulait t-il a se point ? je ne crois pas que c’etait sa faute si il y avait tous ces morts…
le cours passa lentement, pendant un moment je crus que personne n’etait la, tous sauf la prof :
- donc, qui veut decrire sa chambre en anglais bien sur ?
personne n’avait levée la main, tous la regardais sans parler. C’etait si vide, si calme sans Luke. C’est lui qui mettait l’ambiance, mais, savoir quil etait mort, sa rendait la classe triste. Et si c’etait vraiment une malediction ? allait-il fermer le college ?
la sonnerie retentit, je suivais seule dans le couloir Ludo, qui allait je pense au Cdi, mais arrivé a la porte du cdi, il passa sans y aller. Peut etre qu’il va demander a la principale de fermer le college ? je decide de suivre, il traversa le couloir, moi sur les talons, et s’arreta devant la porte du bureau de la principale. La porte etait ouverte, il entra. Je me met derriere le mur pres de l’entrée du bureau pour ecouter.
- madame ! vous croyez que c’est une malediction se qui se passe ? demanda Ludo
- Bonjour deja, et non Ludo, tout sa ce sont des betises pour enfant.
- Mais on a eu quatre mort dans la classe ! quatre ! ce nest pas un hasard, vous le savais bien !
- Eh bien si c’est un hasard, on a deja appellée la police, il observe chaque recoin des lieux, il mene leur enquete, que veux tu que l’on fasse ?
- Moi je sais. murmura une voix en rentrant par une autre porte.
Je reconnut mon prof d’histoire géo. Il etait tres gentil et surtout drole, c’etait vraiment mon prof preferé. Mais il n’avais pas l’air d’avoir envie de rire, il deboula serieusement.
- mon cher monsieur, vous ne devez pas connaître le mot : « toquer »
- vous voulez rire ? moi non. Ludo a raison, ce college est trop ancien, il pourrait y avoir une malediction. Vous devez fermer ce college… (sa voix se brisa) et vous devez le detruire ou cette malediction nous suivra.

J’etais en train de me ranger dans la cours. J’etais seule, les yeux rivés sur le sol comme si je voyais un objet invisible. Je releve les yeux, devant moi, Rayman, Ryan, Tom et Paul arriverent pour se ranger, il baissait les yeux. Normalement ils devraient rire et s’amuser. Mais non, ils etaient completement demoralisés. Devant ces mines sombres, je ne pouvais que penser que Ludo avait raison, que c’etait une malediction. Pourquoi ces quatres morts alors ? Nikos, Laurie, Maxence, Luke… Ils devraient etre la et pas au fond d’un cimetiere. Je vis joan venir vers moi avec Léo.
- salut, tu etais ou ?
je repense a tout a leure, l’air grave de mon prof d’histoire géo.
- j’etais en train d’ecouter Ludo parler a la principale.
- Et ils ont dit quoi ?
- la principale est convaincu que ce n’est rien de plus qu’un hasard mais le prof d’histoire géo est arriver, il a dit qu’il fallait detruitre le college.
- Quoi ? mais nous alors ! cria léo
Axel deboula.
- vous croyez que il se passe quoi vous ? demanda t-il
- je n’en sais vraiment rien. je repond
- ce serait vraiment une malediction ? demanda joan
- peut etre…
- Arretez sa ! cria Léo
On le regarda se demandant ce quil voulait dire.
- On ne vas pas se laisser abattre ! ce n’est pas une malediction ! quelqu'un rode dans la ville, c’est un tueur ! pas une chose fantastique !
- Que proposes tu ?
- Je dis, que nous devons trouver cet assassin !
- Mais on n’est pas des flics ! repond axel
- Et alors ? c’est de notre college qu’ils parlent de detruire ! on est en 3° non ? on est grand ! on va se debrouiller
Toujours peu convaincu, axel baissa les yeux. Je ne savais pas quoi penser. Joan, lui, ne repondit rien, voyant quon etait pas tres rassurer, léo poursuivit :
- on va trouver cet assassin, tous les quatres.
- cinq ! dit une voix derriere léo
florian vint se poster pres a coté de léo.
- je suis avec toi léo !
téo lanca un grand sourire, il tourna la tete vers nous. Il avait peut etre raison, je pris ma decision, d’une voix determiné je leur repond ;
- alors on arretera cet assassin tous les cinq !
cinq collegien ? dans le role d’arreter l’assassin de 4 meurtres ? et si, il y avait encore d’autre victimes ? si on rencontrait ce meurtier, nous tuerait-il ? sommes-nous sur sa liste de victimes ?


La nuit tombait, deux jeunes garcons parlait dehors. Il était assis sur le trottoir en attendant que leur parents les appelle. Un des garcons se leva :
- Je dois rentrer
- D’accord a demain
Le garcon trasversa la route pour rentrer chez lui, quand une voiture le percuta. Il tomba par terre bléssée. Son ami observait la scene avec horreur. le bléssé hurlait de soufrance quand le chauffeur descendit de la voiture. Il s’approcha du bléssé allonger sur le sol. L’ami du bléssé pensait qu’il l’aiderait mais quand le chauffeur se retourna vers lui, il tenait entre ses griffes crochus, la tete du garcon. L’autre cria et s’enfuit a toute allure dans la direction opposée de chez lui. Il coura le plus vite possible jusqu'au champs de la ville en pensant qu’il pourait s’y cacher. Un homme avec sa tronsonneuse était en train de couper des arbustes. Le garcon s’approcha de lui.
- Monsieur aidez moi, quelqu'un veut me tuer !
L’homme ne repondit pas, il continua de fixer son objet. Puis il se retourna en souriant, il l’observa, le garcon se terrifia, il reconaissait le visage de l’assassin de son ami. Le monstre trancha en deux le garcon qui n’eut pas le temps de parler. le sang gigla sur le sol. La tete du garcon retomba par terre, ses bras a l’ecart ; ses jambes gisaient au sol dans une marre de sang. La chose prit chacun des membres et les jeta dans l’arbre a coté.


Je partait au college, c’etait mardi aujourdui. Hier, on avait reflechi a propos de trouver le meurtrier des quatres meurtres. Franchement, sa me faisait un peu la trouille. J’etais partie tot ce matin, pour passer par le champ de la ville. Ma mere etait au courant de tout ces crimes, mais elle disais que ce n’etais pas une malediction. Elle avait par contre dit que si il y avait dautre meurtres, elle m’enleverait du college, chose que je ne voulais pas, car je voulais rester avec mes amis et decouvrir tout cet etrange mystere, alors que je marchais tranquillement, le vent soufflait, je me met sous un arbre, pour passer le temps, il etait encore trop tot, il devait n’y avoir personne au college. Je baisse les yeux vers l’herbe trampée. Alors, je vis des goutes rouges tomber sur le sol. J’appercut une tache rouge vif sur mon epaule. Lorsque je leve la tete, je regardais horrifiée ce qui se trouvait au dessus de moi. je voulu crier mais aucun son ne sortit. Dans les branches de l’arbre, se trouvait 2 bras, 2 jambes et une tete. Une femme etait prêt de moi, elle s’avanca
- oh mon dieu ! cria la femme
- il faut appelez la police !
la femme ne repondit pas. Elle se mit a rire. Je ne compris pas d’abord, mais alors, elle se retourna vers moi, un sourire aux levres. Dans sa main, se tenait une arme mortelle. Une tronsonneuse pleine de sang, je recule lentement.
- qui etes vous ? je demande
elle leva son couteau en l’air vers moi. je me mit a courir le plus vite possible pour m’echapper. C’etait elle la tueuse ! je continuais de courir, encore. Je ne vit pas ou j’allais. je percutte quelqu'un de plein fouet.
- léa ! quesqui t’arrive ?
le monde vacilla. Je leve la tete, Joan etait a coté de moi. j’etais assise sur une chaise et j’avais la tete sur mes bras sur un bureau.
- léa ! gronda une voix
je me retourne vers la voix. La, se tenait devant le tableau, mon prof de Physique Chimie. Tout les regards etaient tournés vers moi. je constate que j’etais dans ma classe. Le prof se detourna du regard et retourna a son exercice. A coté de moi, joan m’expliqua
- tu t’es endormi, le prof etait vraiment en colere
- endormie ? depuis combien de temps je dormais ?
- oh je ne sais pas trop, tu tes endormi je pense vers et demi et la il doit etre…
il n’eus pas le temps de finir que la sonnerie retentit. On sortit tous de la classe.
- on a quoi maintenant ?
- allo, léa, reprend toi ! il est 17 heures, on a fini pour aujourdui.
- Abon…
Je sentit la honte monter. Je venais de mendormir en classe ! puis je repense alors a mon reve. Ais-je rever d’un autre meurtre ? je devais en avoir le cœur net. J’avais tres bien reconnu l’endroit ou se passait mon reve, dans le parc de la ville.
Léo, axel, florian et joan sortaient en vitesse de la classe, je les rattrapes.
- attendez ! je crie avant quils s’enfuient en courant
- quesqui ya ?
- vous rentrez comment ?
- ma mere vient me chercher en voiture, repond axel
- pareil dit léo
- moi je rentre a pied lanca Joan
- moi aussi dit florian, pourquoi ?
- s’il vous plait, dites a vos parents que vous venez chez moi, je crois… qu’il y a eut un autre meurtre.
- Un autre meurtre ? comment sa ? ou ?
- Dans le parc de la ville. Je ne suis pas sure mais.. ;
- Je viens avec toi léa ! lanca axel
- Moi aussi !
Tous les 4 donnerent leur accord et on sortit du college. Joan sortit son telephone et il apela sa mere. Axel partit voir sa mere postée pres du voiture. Léo egalement. Je prêt mon telephone a florian pour qu’il puisse appeler ses parents. tous les 3 reviennent en disant que c’est bon quand a florian, il etait toujours au telephone.
- mais s’il te plait ! je ferai les devoirs avec eux !
malheureusement je n’entendais pas ce ue disais sa mere au telephone.
- je peux ? merci ! je ne rentre pas tard promis !
il me rend mon telephone et hocha la tete. On partit vers chez moi.
- hé mais le parc c’est pas par la ! lanca léo
- mais oui, on va pas jai moi j’avais oublié je repond
- oups !
on rebroussa chemin pour partir vers le parc, la circulation etait normale, on put traverser la route sans respirer la mauvaise odeur des voitures. On arriva vite au parc.
- alors léa ? ou penses tu quil y ait eu meurtre ?
j’essais de me souvenir de l’endroit precis de mon reve. Le banc, l’arbre… je marche quelques temps dans le parc lorsque mon regard se posa sur un banc en dessous d’un arbre.
- Là !
Joan, Léo, Axel et Florian me suivaient, ils fixerent aussi le banc.
- T’es sure que c’est ici ?
- Oui, il y avait un corps dans l’arbre.
Je sentit un frisson me parcourir le long du corps
- Y’avait t-il… un absent dans la classe ?
Mes amis me regarderent inquiets.
- Oui, kevin et victor Ils ne peuvent pas etre morts ?
- Peut etre que non, peut etre que oui…
On se mit sous l’arbre, mon reve me revient, j’etais la, assise sur le banc, et je vis le cadavre decoupé. Je refusais d’y aller. Je reste planté la, axel partit en premier, il leva les yeux vers les branches. Il resta alors bouche bée, il recula en vitesse et revient vers nous.
- axel ?
- il… il… Léa tu avais raison… bafouilla t-il en observant les branches.
Joan partit a son tour sous les branchages. Il en fut bouche bée aussi.
- il y a un cadavre !
- qui est-ce ?
il nous regarda avec horreur avant de parler lentement.
- victor

cro chouette j'adore !

t'es la meilleure Flammou ! ♥♥

Extra

franchement tu te gaves Flammou, tu seras a coup sure ecrivain !

merki ♥♥